Foin de violence, penchons-nous aujourd'hui sur la douceur du monde, les méandres de l'Histoire et de ses enfants ; les mythes.
Elle est notre voisine et
nous apprenions en 2015 qu'elle était
amoureuse des étoiles, de l'art, des légendes et des époques révolues (et pourtant prête à prendre
la pilule rouge pour suivre le lapin blanc).
Laetitia Arnould n'en finit pas de publier et elle sera de nouveau parmi nous cette année. Parmi ses thèmes de prédilection ; des contes, des légendes toujours, et beaucoup de femmes parmi lesquelles, au hasard, les héroïnes de
Ronces Blanches et Roses Rouges.
Orphelines d'un passé dont elles n'ont aucun souvenir, Sirona et sa jeune soeur Eloane sont aussi différentes qu'inséparables. Quand leur tutrice, Iphigénie Whitecombe, fiance l'aînée à un inconnu, leur avenir sombre dans l'incertitude... Pour échapper au mariage qui l'effraie et à la colère dévastatrice de Mme Whitecombe, Sirona prend la fuite.
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Illustrations issues du site de Laetitia Arnould. |
Jeremy Angelo Napoli fait partie de la fratrie de l'autrice sus-citée et cela se devine. Mais il est surtout notre voisin lui aussi et il sera également une nouvelle fois parmi nous. En 2015,
il nous racontait qu'
un petit séjour à Londres au XIXème siècle [lui conviendrait] tout à fait. Mais c'est finalement une époque un peu plus reculée qu'il est allé exploré entre-temps dans
Alter echoes.
Florence, XVème siècle. Laurent de Médicis, Lucrèce Borgia, Léonard De Vinci, Ludovic Sforza, Michel-Ange... Vous connaissez leur nom et leur histoire. Mais si tout cela n'était qu'illusion ? Et si, parmi ces hauts personnages de la Renaissance, s'étaient glissés des êtres capables de prendre des apparences différentes, des hommes dotés du don de clairvoyance, des réincarnations de personnes disparues plusieurs siècles auparavant ou même une harpie ?
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Illustration issue du site de Jeremy Angelo Napoli. |
Enfin, s'il est une histoire qui nous tient à cœur, c'est bien celle qui est à la source de nos affiches, de notre nom et de notre logo (grâce au grand talent et à l'inestimable sympathie de
Gaboo) ; il s'agit bien sûr de celle de Scorfel, ce petit dragon des Traouïeros. Et c'est
une histoire qu'a contée Edwige Louvet une première fois peu après notre rencontre en 2015 (elle aussi !), et qu'elle a depuis mise en images (grâce au talent de Florian Brault) pour les plus jeunes. Si vous n'avez pas pu la rencontrer au
dernier festival de la BD de Perros-Guirec (c'était pourtant
dans la presse !), ne la ratez pas cet automne à Lannion !
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Scorfel 2016 (photographies de François). |