Pourriez-vous vous présentez en quelques phrases ?
Je suis né en 1986, dans la région. Après trois années de lycée plutôt rock’n’roll à Lannion, on a rapporté m’avoir vu aux Etats-Unis et dans la région parisienne, où il semble que mon destin soit d’y terroriser des têtes blondes en leur parlant en anglais. Au reste, je suis profondément convaincu que la réalité a été créée pour ceux qui ne peuvent pas faire face à la science-fiction et, comme tout auteur qui se respecte, j’écris en ce moment un roman.
Quelle est votre oeuvre, et que voulez-vous nous présenter à l'occasion du festival Scorfel ?
Plusieurs choses, dans des registres très différents. D’abord, avec les éditions Voy’El, l’anthologie numérique A voile et à vapeur, que j’ai co-dirigée avec Isabelle Wenta et qui rassemble des textes dans la veine steampunk avec pour particularité de mettre en scène des personnages LGBT. D’autre part, un roman que j’ai publié indépendamment l’année dernière, Mendung ; un roman de série B à paraitre à la rentrée, Manhattan 2112, et un recueil de nouvelles en anglais à paraître outre-Atlantique début octobre, Weekend in New England. Et peut-être également une sucrerie 100% bretonne, mais je vous laisse la surprise.
Qu'attendez-vous de votre participation au festival Scorfel ?
Ce sera mon premier festival en tant qu’auteur indépendant, donc j’espère qu’il sera porteur et qu’il contribuera à donner un autre regard sur l’auto-édition. Du moins, ce sont mes aspirations officielles. Tout ce que j’attends fondamentalement de ce festival, c’est de m’éclater avec les autres auteurs, boire des bières autour d'une table de jeu et si possible prendre des photos compromettantes de Lionel Davoust.
Quelques liens
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